Clément Munganga Kilingwa
																	
										Laboratoire de Limnologie, Hydrobiologie et Aquaculture, Mention Sciences de la Vie, Faculté des Sciences et Technologies, Université de Kinshasa, Kinshasa, République Démocratique du Congo; Mention Sciences de la vie, Faculté des Sciences et Technologies, Université de Kinshasa, Kinshasa, République Démocratique du Congo 
									
																									
															 
													
								Mauricette Tandundu Mater 
																	
										Mention Sciences de la vie, Faculté des Sciences et Technologies, Université de Kinshasa, Kinshasa, République Démocratique du Congo 
									
																							 
													
								Lusasi Swana Willy Lusasi Swana
																	
										Laboratoire de Limnologie, Hydrobiologie et Aquaculture, Mention Sciences de la Vie, Faculté des Sciences et Technologies, Université de Kinshasa, Kinshasa, République Démocratique du Congo; Mention Sciences de la vie, Faculté des Sciences et Technologies, Université de Kinshasa, Kinshasa, République Démocratique du Congo 
									
																							 
													
								Jeff Nakweti Kukatula
																	
										Laboratoire de Limnologie, Hydrobiologie et Aquaculture, Mention Sciences de la Vie, Faculté des Sciences et Technologies, Université de Kinshasa, Kinshasa, République Démocratique du Congo; Mention Sciences de la vie, Faculté des Sciences et Technologies, Université de Kinshasa, Kinshasa, République Démocratique du Congo
									
																							 
													
								Théophile Zamana Mbemba 
																	
										Option de Gestion et Administration des Projets, Section Développement Communautaire, Institut Supérieur d’Etudes Agronomiques de Kimbau, Kwango, République Démocratique du Congo 
									
																							 
													
								Santos Kavumbu Mutanda 
																	
										1Laboratoire de Limnologie, Hydrobiologie et Aquaculture, Mention Sciences de la Vie, Faculté des Sciences et Technologies, Université de Kinshasa, Kinshasa, République Démocratique du Congo; Mention Sciences de la vie, Faculté des Sciences et Technologies, Université de Kinshasa, Kinshasa, République Démocratique du Congo 
									
																							 
													
								Victor Pwema Kiamfu 
																	
										1Laboratoire de Limnologie, Hydrobiologie et Aquaculture, Mention Sciences de la Vie, Faculté des Sciences et Technologies, Université de Kinshasa, Kinshasa, République Démocratique du Congo; Mention Sciences de la vie, Faculté des Sciences et Technologies, Université de Kinshasa, Kinshasa, République Démocratique du Congo 
									
																							 
													
								Bekeli Mbomba Nseu
																	
										Laboratoire de Limnologie, Hydrobiologie et Aquaculture, Mention Sciences de la Vie, Faculté des Sciences et Technologies, Université de Kinshasa, Kinshasa, République Démocratique du Congo; Mention Sciences de la vie, Faculté des Sciences et Technologies, Université de Kinshasa, Kinshasa, République Démocratique du Congo 
									
																							 
											 
				
													
						Résumé
						
							Cette étude s’est focalisée sur l’inventorier des espèces de poissons peuplant la rivière Mayi ya Pembe située dans la commune de la N’sele à Kinshasa, R.D Congo. L’échantillonnage a été réalisé mensuellement à l’aide des filets épervier et épuisette entre mai 2020 et juin 2021. Au total, 558 individus appartenant à 6 ordres, 11 familles, 15 genres et 16 espèces ont été collectés. L'ordre des Siluriformes avec quatre familles (Schilbeidae, Claroteidae, Clariidae et Amphiliidae) est le plus représenté suivi des ordres des Characiformes et Osteoglossiformes avec deux familles chacun. Avec quatre espèces dont Hemichromis fasciatus, Hemichromis bimaculatus, Tilapia tholloni et Tylochromis sp, la famille des Cichlidae est la plus abondante des familles inventoriées.  Raiamas buchholzi (124 spécimens) est l’espèce la plus abondante, suivie de Hemichromis bimaculatus (60 spécimens) et Brycinus longipinus (56 spécimens). L’eau de cette rivière est faiblement acide (pH compris entre 5,12 et 5,78). La température de cette eau oscille entre 29,5°C et 30,85°C, ce qui est dû à l'absence de la couverture végétale qui l’expose au soleil. La conductivité est très faible et, cette rivière est moins profonde et peu turbide (turbidité compris entre 2,5 et 3 ppm), ce qui peut affecter la fixation des micro-organismes. Cette recherche a permis de connaitre la richesse ichtyologique de la rivière Mayi ya Pembe et souligne l'importance essentielle de protéger et conserver cet hydrosystème ainsi que les espèces de poissons.